Stark vint à se lever, quand il oublia la réunion entre l'Espada et Aizen. Alors il mit ses mains sur sa tête et marcha dans les couloirs en direction de la salle de réunion. Pendant le trajet, Stark, comme à son habitude, révait et ne faisait attention à rien d'autre. Alors, il pénètra dans la salle de réunion, comme habituellement, cette sale était illuminée, ce qui gênait les yeux de Stark qui ne supporte très mal le surplus de lumière. Enfin bon, si tout dépendait de Stark, pleins de choses ne seraient pas disposées dans le Hueco Mondo, que se soit objets ou... arrancars. Le Tercero Espada ne supportait pas les fourbes et surtout ceux qui ne cherchent qu'à se battre pour aucunes raisons valables, juste pour le plaisir de tuer ou de se faire tuer. Stark se dirigeait vers sa place, il fixa Ulquiorra Schiffer, un des seuls Espada ayant de la valeur dans l'estime de notre Tercero Espada. D'ailleurs, Stark s'asseya sur sa chaise blanchâtre, et s'affala sur la table, écoutant le discours d'Aizen, qui n'avait aucun intêret pour le 3è. La proposition d'Aizen de faire une bataille et de soigner un arrancar à chaque fois que celui-ci meurt, n'est pas approuvée par Stark qui se leva et prit la parole.
" Je ne suis pas d'accord avec vous... Il est lâche de faire cela, ce n'est pas une preuve de supériorité !"
Stark était le seul Espada à réfléchir de cette manière, ces confrères le prenaient toujours pour un fou, voilà pourquoi il a toujours été distant d'eux et ne reste qu'en compagnie de Lilinette, qui, elle, est la seule à le comprendre.
"Si nous allons combattre des Shinigamis juste pour le plaisir, ce "plaisir" sera sans moi Aizen-Sama !"
Le haut statut de Stark dans l'Espada faisait de lui un élément indispensable, mais il n'en était pas présomptueux comparé à ce qu'il pensait de certains des Espada qui sont d'une vanité à couper le souffle. Mais le Tercero Espada est un arrancar très impoli et n'apprécie pas recevoir d'ordres, même d'Aizen, mais comme il ne possède pas vraiment d'ambitions, cela est la seule façon pour lui de rester autre part que dans son sofa blanc, où il roupille chaque seconde de sa vie.