sauvetage des prisonnières

Urahara regarda Yoruichi menacer Aizen avec son propre zanpakutoh. Légèrement surpris de sa rapiditée, comme toujours, il se mit à sourire sadiquement.

"Je propose de le laisser souffir ici, sous cette chaleur horrible. De toute façon, il n'en a pas pour longtemps. Avec un peu de chance, des hollow s'amuserons avec lui."

Il hocha lentement la tête puis fixa l'hougyokou qu'il tenait entre ses mains. Qu'allait-il pouvoir bien en faire ? On ne peut pas la détruire comme ça. Il fallait qu'il l'implante dans un autre corps. Mais qui ?

-Je propose de le laisser souffrir ici, sous cette chaleur horrible. De toute façon, il n'en a pas pour longtemps. Avec un peu de chance, des hollow s’amuseront avec lui.

Yoruichi tourna la tête et regarda Kisuke elle soupira lassée par ce que disait son vieille ami. Elle tendit le sabre à son propriétaire, et croisa les bras en regardant les autres personnes présentes.

-Comme tu veux…Mais si ca ne tenait qu’à moi je le tuerais sur le champ !

Soudain elle aperçut l'hougyokou dans les mains de Kisuke, elle fronça les sourcils et s’approcha de lui surprise.

Quand l’as-tu… Comment l'as-tu récupéré ?!

Elle se mit à sourire et tapa amicalement l’épaule de Kisuke.

Décidément tu m’étonneras toujours !

Décidément tu m’étonneras toujours !

Kisuke sourit à la tape de Yoruichi, il sortit son éventail d'un getse lent, le déplia et commença à s'aérer. Son regard passa de l'objet à Aizen; tour à tour, durant une bonnne demi douzaine de minutes.

Afin de se donner un spect mystique et surtout se donner une certaine valeur, il répondit ainsi:

J'ai conclus une sorte de pacte avec un diable...

Il fixa Aizen avec un air hautain mais presque triste

-Il a dû se faire surprendre. C'était ça le truc, la trahison...

Il se retourna vers Yoruichi avec un air sérieux

-On s'en va, il y a des êtes puissants ici, perdre l'Hougyokou maintenant serait... bête ! Et en plus, nous avons accomplit notre part du marché.

Puis il se précipita d'ouvrir un passage avant qu'on ne lui fasse remarquer qu'il n'avait, en fait, rien fait du tout.